C’est de la forêt, de ses feuillus et de ses lianes que cette série est d’abord issue.
La spontanéité du geste, l’exploration de la matière pleine et épaisse de la peinture à l’huile, le plaisir à creuser des sillons colorés dans le frais pour voir se faire, par interférences réciproques, l’osmose entre forme et fond, est l’essence même ces peintures.